1918, année décisive L'Allemagne ayant fait la paix avec la Russie ramène ses troupes sur le front de l'ouest. |
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Après une préparation minutieuse les Allemands attaquent le 21 mars vers Saint-Quentin (point de jonction entre les troupes franco-anglaise). Ludendorff espère rejeter les anglais à la mer Les Alliés, sous le commandement énergique Le 27 mai les troupes allemandes enfoncent |
Le Maréchal FOCH |
Les Allemands ne sont plus, après 4 ans de combat, qu'à une soixantaine de kilomètres de Paris. Les parlementaires exigent des sanctions contre le Commandement militaire français mais Clémenceau tient bon, soutient Foch et Pétain qui préparent la contre-offensive.
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Ludendorff souhaite attaquer Compiègne puis, par une manoeuvre d'encerclement, prendre Paris ; mais une contre-attaque française va l'en empêcher. Il sait que le temps joue contre lui car les Alliés se renforcent et les Etats-Unis envoient de plus en plus de troupes et de matériels. L'Etat-Major français fait renforcer les défenses arrières afin d'évacuer les premières lignes plus vulnérables alors que les troupes allemandes s'épuisent. |
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Rethondes : après la signature de l'armistice |
Mi-juillet les Allemands lancent leur grande offensive, mitraillent puis assaillent Puis Foch, profitant de l'avantage acquis lance sa grande offensive forçant les Allemands à reculer jusqu'à leur "ligne Sigefried". |
Dans les semaines qui ont précédé ou suivi les autres belligérants ont aussi signé des Armistices : Bulgarie, Turquie, Autriche, ... Le 12 novembre Charles II d'Autriche doit abdiquer ; l'empire austo-hongrois est démantelé. - En 1916, après son accession au trône à la mort de François-Joseph, il avait tenté une "paix séparée" avec la France que Clémenceau avait refusée... ce qui aurait pourtant évité des milliers de morts ! (Une ombre sur "le Père la Victoire) - |
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